Budgets en attente : Une situation préoccupante pour nos UMR !
Le retard dans l’installation des crédits suscite des préoccupations croissantes et limite significativement le bon fonctionnement de nos UMR. L’absence de ces financements constitue un frein majeur à la mise en œuvre d’éléments essentiels, tels que la bonne marche des laboratoires ou l’organisation des déplacements, qui ne peuvent être engagées tant que les crédits ne sont pas alloués et que l’outil NOTILUS n’est pas activé.
Ce décalage impacte également les conventions en cours, ralentissant ainsi le bon déroulement des projets de recherche et compliquant leur mise en œuvre. Il en résulte une fragilisation de nos relations avec nos partenaires, en particulier ceux impliqués dans les projets de recherche. Ces délais peuvent affecter la perception de notre institution dans certains pays, où le contexte actuel invite à une vigilance accrue quant à l’image et à la crédibilité de nos actions.
Il est important de rappeler que la disponibilité des ressources financières conditionne directement notre capacité à planifier et à mener à bien nos activités. Aussi, disposer d’une meilleure visibilité sur l’état d’avancement de l’installation des crédits permettrait d’anticiper les dépenses, d’établir un prévisionnel précis et d’assurer une gestion optimale dès la mise à disposition des fonds dans SIFAC.
Dans ce contexte, une communication régulière et transparente sur les délais et les échéances envisagées serait appréciée, sinon indispensable, pour accompagner au mieux les équipes et leurs partenaires dans la poursuite de leurs missions.